La place que prend la presse dans cette campagne est tout simplement scandaleuse. Que la presse soit de gauche, c'est un fait, c'est comme cela et la droit fait avec. En revanche, qu'elle prenne le parti d'un candidat et qu'elle décide de faire l'élection par elle même, c'est tout proprement scandaleux.
Car au delà de la presse, c'est surtout la mise en place de la politique de gauche qui va passer, celle qui risque de faire perdre le président Sarkozy, mais surtout celle qui va faire perdre la France.
Scandaleux, surtout quand la pensée unique profite au communisme...  

La TVA sociale, c'est a priori une très bonne idée. Le concept est simple: Augmenter la TVA des produits importés et réduire en contre parti les charges sociales. Une idée que l'on peut qualifier d'efficace puisqu'elle permettra d'augmenter les salaires au frais des entreprises étrangères. Malheureusement l'idée vélaires la droite et au moment des élections ce ne peut être mis en avant ou perçu comme efficace. C'est donc une question qui revient au galot, et la situation économique et social l'impose, puisqu'au delà des questions de réthorique, il faut trouver de l'argent pour financer la reprise, le déficit et désormais les retraites... Il ne reste donc qu'à attendre les nouvelles prises de positions sur ce sujet, mais je ne pense pas que nous aurons l'occasion de voir cette question dans les prochaines programmes des candidats pour les présidentielles, au regard du mauvais souvenir qu'on les députés après la malheureuse intervention de Borloo en 2007, juste avant les élections législatives.

On peut voir en ce moment que les retraites prennent une place de plus en plus importante et prendront une place déterminante dans les prochaines élections dans les prochains programmes est dans le classement des prochains candidats. Malheureusement on peut voir que c'est davantage la volonté de perturber cette nécessaire réforme des retraites. D'un côté, nous avons l'état, le gouvernement, qui cherche une véritable solution de long terme pour la sauvegarde de nos retraites. En parallèle il y a les syndicats, ces syndicats qui cherchent désespérément à prendre une place dans les négociations dont ils ont finalement pas les qualités et la qualification. Ce que veulent les syndicats c'est taxer davantage les entreprises, taxer les gens qui "gagnent", tout cela pour préserver les acquis sociaux ajustements récupérer sous les quelques années de la gauche. Bref, ce qu'il va falloir faire désormais c'est travailler ensemble. Travailler ensemble c'est travailler dans l'objectif que tout fonctionne, et cela pour tout le monde quelque soit la pénibilité quelque soit la difficulté et quelque soit la richesse personnelle de celui qui à juste titre devra toucher sa retraite. Voilà donc un petit geste d'humeur à la suite de ces grèves qui commencent très clairement à fatiguer y a énervé tout le monde. Le sujet risque d'être chaud surtout, à la proche des prochaines élections présidentielles de 2012

Le cas villepin, c'est en quelque sorte l'actualité du  moment, puisque nous ne savons pas ce qu'il va se passer... on le sait sur le plan juridique, mais quid de sa participation aux élections présidentielles de 2012. Chacun sait qu'il est crédité d'un minimum de 6% voir de 8% s'il arrive à présenter une équipe et un programme. Le programme de Villepin pour l'instant, c'est un programme du dernier instant qui consiste à critiquer au maximum l'actuel président de la république. Et pourtant, s'il rêve de la plus grande destiné, il s'interdit clairement de diviser, en souvenir des mauvaises expériences de l'époque chirac alors qu'il se batait activement contre Giscard puis contre Edouard Balladur.
Ainsi, Villepin peut abattre son pire enemi facilement, puisqu'une simple présentation aux élections de 2012, lui assurerait de diviser une droite qui ne l'est pas, même si elle n'est plus complètement acquise à Sarkozy.
Que faire donc pour Villepin, qui a le choix de la destruction... mais qui par cette occasion marquera d'une brulure au fer rouge une droite qui ne doit pas rentrer dans la dualité des chefs. Il est en effet tout à fait normal d'imaginer qu'il ait des envies, mais la France doit penser à sa construction pour l'instant, et surtout oublier les différentes querelles qui troubleraient de manière définitive le plan d'action lancé par le Président, qui, on le sait, durant son deuxième mandat, souhaite passer à la vitesse supérieur.
Bref, la situation est à suivre, car elle est complexe, et rien ne prédit à Villepin de renaître en phénix, chose qu'il aimerait en poète tourmenté, c'est certain.
Mon avis sur la question? Il y a plusieurs solutions pour répondre à l'ambition légitime de l'ancien premier ministre. En revanche, il est plus difficile de lui donner un place valable... puisqu'il ne lui reste qu'un poste à obtenir pour définir la parfaite carrière politique dont il se défend. Ainsi... je crois que notre ami Villepin, doit revenir à la maison pour défendre à nos côtés les valeurs que nous souhaitons imposer au paysage politique Francais. Les élections présidentielles de 2012 seront particulièrement difficiles pour plusieurs raisons. Tout d'abord, on ne peut se prévaloir d'un bilan pour ce genre de mandat, les Français souhaitent entendre autre chose, entre autre un projet.
Une deuxième projet est toujours difficile à déterminer quand le premier est encore en phase d'éxécution.
Puis, il y a les anciens ministres déchus à la tête de leurs partis politiques respectifs. Déchus, comme pour la cas Boutin, ils vont certainement partir en quête du sacre, ne serait ce que pour rapeller qu'ils ont quitté le gouvernement sans grande conviction. Et elle n'est pas la seule, ce qui pourrait tromper l'allégence promise à l'actuel locataire de l'élysée.
Bref, imaginons.... Villlepin... rien que pour le plaisir, pourrait bien mettre en l'air tous les efforts lancés par un gouvernement qui serait certainement encore plus efficace dans le deuxième mandat... car sans élection après, on ne cherche que l'efficacité et la preuve d'un résultat concret.
Bref, Villepin a les moyens de troubler, mais va au devant d'un vengeance personnelle pour buter sur ce qu'il y a de plus précieux pour nous : Le maintien de la droite.
Et puis, nous oublions un détail important. Pour l'instant nous parlons de Villepin. Mais parler de Villepin ne doit pas nous faire oublier que l'équipe du président est attentive à cela et qu'elle réfléchie sur le sujet avec bien plus de précision que nous....
Affaire à suivre, c'est certain...

Si DSK a fait sensation la semaine passée lors de ses derniers passages télévisés, permettant ainsi à beaucoup de Français de le considérer comme un grand potentiel pour les prochaines élections présidentielles de 2012, il n'en reste pas moins que dans le cafouillage de la gauche, une tête ressort clairement comme étant LE potentiel, il s'agit bien sur de Vincent Peillon.
Vincent Peillon, c'est un peu le socialiste qui a compris plus tôt que les autres qu'il fallait se mettre en retrait pour lancer une action de fond. La consécration donc d'un travail nécessaire pour reprendre un peu de valeur auprès des Français.
La question de Peillon va donc se poser, sauf si DSK s'impose rapidement comme la solution pour reprendre le PS et le remettre en ordre de marche pour ces prochaines élections présidentielles. Peut être faudrait il parler de sondages presidentielles sur ce point, ce qui nous permettrait d'en savoir plus sur le potentiel réel de ce nouveau meneur.